Depuis longtemps je rêvais d'une hybridation entre le saxophone et le serpent. C'est maintenant chose faite. Ce que j'apprécie ici, et qui m'a donné du fil à retordre, c'est que le siège est pour une bonne part dans le vide, donc il a fallu bien le coller, le soutenir le temps que la terre durcisse, etc.
Sur cette autre photo, on voit mieux les détails amusants : le levier de vitesses, la mitrailleuse, la coiffe, l'écoutille, etc. J'ai adoré faire ce travail. Je me suis bien amusé tout le long.
La vue de dos permet de voir que notre prévoyant saxophoniste a emporté avec lui du gaz, mais aussi un bidon d'essence !